La création intégrale
Bonjour, je suis Guillaume
Si vous êtes en train de lire cette phrase, ce n’est probablement pas par hasard.
Alors laissez moi vous expliquer ce qu’est véritablement ONIZEM
Pour commencer, il faut revenir au début, là où justement tout a commencé…
J’avais 19 ans. En plein Covid. Ma première société avait coulé. J’étais retourné vivre chez ma mère. Je fumais. J’avais pris 15 kilos. Je ne faisais pas de sport. Je ne savais plus quoi faire de ma vie, ni même de la suite…

Et puis un jour, en tombant sur quelques vidéos de développement personnel — un univers totalement nouveau pour moi — j’ai eu une étincelle : “Et si la qualité de ma vie dépendait à devenir plus et à avoir plus ?” D’un coup, tout mon focus s’est centralisé autour de cette question. Alors j’ai commencé à ne parler que de ça, à vivre pour ça.
Mais il y avait un « mais »… Mes relations, mon environnement, mes habitudes — tout appartenait à l’ancien moi. Je vivais encore dans une structure pensée pour une version de moi qui n’existait plus. Alors j’ai commencé à tout transformer, dans un seul but : devenir meilleur.

J’ai arrêté de fumer, commencé le sport à 5h du matin tous les jours, perdu mes kilos en trop, supprimé les fast-foods, mis fin à 80% de mes relations. J’ai intégré une école de développement web et marketing, lancé une nouvelle société (Exastam), investi des milliers d’euros en coaching, séminaires, livres, rencontres. Avec deux amis, on s’est lancé sur les réseaux sociaux. En seulement 3 mois, plus de 70 millions de vues, plus de 200 000 abonnés. Bref, j’avais un pourquoi et j’étais dans la “vibe” : devenir la meilleure version de moi-même.

À ce moment-là, je pensais avoir tout compris. Que la vie était une équation simple : oser + foncer + suivre son planning à la perfection = réussite. J’étais convaincu que ma valeur dépendait de ma capacité à être productif, discipliné, performant.
Mais si je vous raconte tout cela aujourd’hui, c’est justement parce que cette formule, aussi séduisante soit-elle, ne fonctionne qu’un temps.
Avancer à 200 km/h, sans carte, sans avoir conscience de la direction… Est-ce vraiment avancer ? Je cochais toutes les cases de ma morning routine, je traçais des tableaux de livres lus, je me poussais chaque jour à faire plus, à être plus. Mais ces actions, aussi bien intentionnées soient-elles, répondaient-elles vraiment à ma raison d’être profonde ? Est-ce que réellement, je contribuais à un monde meilleur ?

Au fil du temps, cette flamme — bien qu’encore présente — a commencé à perdre en clarté. Un ami a quitté le projet. Puis le second. Et je me suis retrouvé seul. J’ai fini par moi aussi mettre fin à l’aventure, qui ne résonnait plus avec mes valeurs.
Et là, une autre question a émergé. Plus grande. Plus vaste.
Comment réellement faire en sorte que le monde devienne meilleur ?
Après plusieurs mois de réflexion, d’écoute, de silence… j’ai compris quelque chose de fondamental : chercher à devenir la meilleure version de soi uniquement pour soi n’est pas ce à quoi nous aspirons profondément.
C’est un passage. Une étape précieuse, mais incomplète.

Nous sommes des êtres complexes, en mouvement, modelés par ce que nous pensons, ressentons et partageons. Nous avons besoin d’avoir une vision intégrale de la vie… Une démarche qui ne cherche pas à ajouter, mais à réunir. À remettre l’humain — et le vivant — au centre. À faire de l’alignement, de la présence et de la contribution, une seule et même direction.
Parce que le monde de demain ne se construira pas avec des “moi” isolés, mais avec des “nous” connectés. On peut réussir dans un domaine, même exceller, mais si le reste s’effondre autour — santé, relations, équilibre intérieur et extérieur — alors rien ne tient vraiment.

Se focaliser sur un seul objectif, sans considérer l’ensemble de notre vie, celles des autres, et ce qui nous entoure, ne fonctionne qu’un temps.
Prendre tout en compte permet de comprendre l’impact réel de chaque action, non seulement sur notre vie, mais aussi sur le monde qui nous entoure — de manière globale, durable et intégrale.
Et c’est là que naît ONIZEM.
